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[Yath - Noiseweb]

C'est pas pour faire le lèche, mais goeff à raison
Metallica a évolué et D.M est un mélange de ce que le groupe a proposé avant. Contrairement à Slayer opu Testament qui n'ont pris aucun risque sur leur dernier album par exemple. Je le trouve bien moi cet album

[TASTOUX]

[Scarventophe]

Il ne coute pas 150 mais 103 euros , Ok , mais y'a pas que la Fnac qui le commercialise Geoff , mais il y'a d'autres magasins de disque qui pratique leurs prix de ventes et je n'ai pas fait tous les magasins pour comparer , c'était juste à titre indicatif entre 2 magasins qui se trouvent à proximité de chez moi dont 1 qui pratique des prix plus élevés...

Et quand je dis que c'est une " daube " c'est juste pour emmerder ceux qu'ils n'aiment pas cet album , parce que si vous savez bien lire , je l'ai acheté en digi l'album et je l'apprécie beaucoup...
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[Geoff - NOISEWEB]

[Will - Noiseweb]

Geoffffffff.... back from the dead on this fuckin' and diabolical forum !!!

Moi, je l'ai dit depuis des années : je ne dépenserai plus un dard pour Metallica ! Et les box, d'façon, j'ai plus de place pour les ranger chez moi !
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[Geoff - NOISEWEB]

[Will - Noiseweb]

[Scarventophe]

En tout cas , ça fait bien longtemps qu'un album n'a pas autant " Magnetisé " le public , qu'on apprécie ou pas cet album , il ne laisse vraiment pas indifférent.

Le titre est bien choisi

J'irais peut être même à faire une chronique perso si le temps m'en laisse le temps
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[Yath - Noiseweb]

Jamez qui parle de la prod (très peu hein) ici :
http://www.lemonde.fr/culture/article/2008/09/17/la-cure-de-jouvence-de-metallica_1096235_3246.html?xtor=RSS-3246
"Less Is More " dit il...

[Will - Noiseweb]

Putain !

On aura donc tout vu avec Metallica !!!!!!!!!!!
Jaimz a en tout cas l'air de bien s'amuser de la situation !

Metallica for President !





Et là, l'article du Monde, paru en Une !!


La cure de jouvence de Metallica
LE MONDE | 17.09.08 | 16h42 • Mis à jour le 17.09.08 | 20h21

Il est celui qui a fait - pas tout seul, certes - de Metallica le plus grand groupe moderne de heavy metal, commercialement (100 millions d'albums vendus) et artistiquement.

A 47 ans, James Hetfield est la force aujourd'hui apaisée, plus que tranquille, du quatuor de San Francisco quand son ami d'adolescence, le batteur Lars Ulrich, en assure la représentation médiatique. Scientifique du riff (ce motif de guitare répétitif qui est l'arme fatale du hard), parolier métaphysique, chanteur contre son gré comblant ses limites par une sombre expressivité, Hetfield est largement l'artisan du retour au premier plan de son groupe avec l'album Death Magnetic, qui s'est déjà écoulé à plus de 500 000 exemplaires aux Etats-Unis depuis sa publication le 12 septembre.

Dans sa jeunesse, Hetfield cultivait volontiers un look pileux de barbare : en oubliant les tatouages, son impressionnant bouc sans moustache l'apparenterait plutôt à un congrégationniste, quoique l'intéressé ait souffert, enfant, de l'aliénation religieuse. Eduqué selon des préceptes obscurantistes, Hetfield a vu sa mère emportée par un cancer en refusant tout secours médical. Omniprésente dans la discographie de Metallica, la Camarde, qui a également pris le premier bassiste du groupe, Cliff Burton, en 1986, l'est évidemment dans Death Magnetic ("attiré par la mort").

"Les paroles de l'album évoquent ceux qui avaient besoin de vivre le mythe sex, drugs and rock'n'roll et y sont restés", explique Hetfield. A commencer par Layne Staley, chanteur du groupe Alice in Chains, mort en 2002 d'une surdose. "Nous avions toujours entendu parler de Jimi Hendrix ou de John Bonham... Ceux d'avant. Là, c'était quelqu'un de mon âge qui tombait au combat."

Et pour une cause douteuse. Sexe, drogue et rock'n'roll, donc. Hetfield, qui y a survécu, nous fait heureusement grâce de l'habituel discours moralisateur du repenti. "J'ai cru en effet pendant un moment, un long moment même, que pour former un groupe cette trinité était nécessaire. Je ne peux toujours pas prétendre le contraire aujourd'hui. Mais j'ai réussi à traverser le feu."

Epreuve à laquelle on assiste dans Some Kind of Monster, documentaire, sorti en salles en 2004, consacré à la confection de St Anger, précédent album de Metallica qui a divisé les fans. Hetfield s'absente pour une cure de désintoxication. Quand il revient, ses acolytes doivent faire avec un leader qui travaille à mi-temps pour retrouver quotidiennement sa famille. Le climat entre les musiciens est si délétère qu'ils recrutent un thérapiste de groupe. "C'était un ring de boxe, se souvient Hetfield. Nous n'arrivions plus à nous parler librement, sans violence. Il fallait nous asseoir autour d'une table avec un arbitre." Sans cela, Metallica n'aurait peut-être pas explosé, "mais dépéri, ce qui est plus triste encore".

Exposer au public l'intimité de Metallica, n'était-ce pas céder à l'air du temps, aux pièges de la télé-réalité ? "Il y a le même risque : paraître stupide, observe Hetfield. Il m'arrive de tomber sur des reality-shows et je ne tiens pas plus de cinq secondes. Rien n'est naturel." Et de citer confraternellement ceux de Gene Simmons (Kiss) et Brett Michaels (Poison). "Some Kind of Monster n'a rien à voir : ce devait être un film sur la réalisation d'un disque et ce fut un miroir que l'on nous a tendu. Dans lequel nous nous sommes trouvés moches, très moches - on y entend peut-être vingt fois "va te faire foutre". Ma vie s'effondrait devant la caméra, et cela vous ne pouvez le scénariser. La mystique de Metallica en a sans doute pris un coup, mais le film montre bien que les secrets sont du poison. Le mensonge de cet homme géant et costaud sur scène, qui devient une loque dans sa chambre d'hôtel... Je picolais à l'insu de tous, j'ai triché et menti au groupe. Pour moi, ce film était un cadeau tombé du ciel. Révéler qui j'étais m'a rendu la vie plus facile."

Musicalement, Hetfield semble avoir retrouvé une seconde jeunesse avec Death Magnetic. Les puristes se réjouiront du retour au thrash metal, le sous-genre rapide et puissant inventé par leurs héros. Pour cela, il a été fait appel à Rick Rubin, un des producteurs les plus cotés au monde, fondateur du label de rap Def Jam et collaborateur des Beastie Boys et Red Hot Chili Peppers. "Il nous a proposé de retrouver l'essence de Metallica, avoir en tête la période de Master of Puppets, revenir à ce que nous savions faire depuis 1985."

Avec une méthode originale, en trois temps : écoute des maquettes contenant les riffs de travail - soit "seize CD de trente idées chacun datant de la tournée St Anger" - pour n'en conserver que les meilleurs ; construction, en jouant, des chansons ; enregistrement au studio, en prise directe.

Rubin est aussi connu pour avoir remis Johnny Cash en selle dans les dernières années de sa vie. "Je ne me rangerais pas dans la même catégorie, mais la logique est effectivement la même : Rick a compris que l'essence de Johnny Cash, c'était sa voix et un son acoustique, plus que les chansons qui sont essentiellement des reprises. Dans notre cas, personne n'avait jamais réussi à capturer l'urgence live de Metallica en studio. Une production minimale, less is more, nous convient mieux." La victime collatérale se nomme Bob Rock, fidèle depuis le Black Album, best-seller de 1991. Ce Canadien a été souvent tenu pour responsable de la "démétallisation" de Metallica.

"Envisager la fin de Metallica nous a appris la gratitude, conclut Hetfield. Nous avons identifié un ennemi, le temps, qui nous a soudés. Vingt-sept ans après, nous sommes toujours là. Toujours sur la route, mais loin du fossé." Le chanteur conjugue aujourd'hui le métier de rock star et ses obligations familiales. "Mes enfants m'ont beaucoup appris. C'est censé être l'inverse. Je ne fais plus ce que je ne voudrais pas les voir faire. J'ai appris à prendre soin de l'enfant que j'étais à travers eux."

Bruno Lesprit
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[TASTOUX]

je reviens de VIRGIN et ya pratiquement la moitié du rayon metal pour le nouveau cd de METALLICA,avec aussi des grands cerceuils blanc a 90€ et les lp a 49€ et sur le reste toutes les reeditions de MAIDEN...reste plus grand chose en choix !!



le cerceuil blanc ,ya quoi dedans?fleme de chercher
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[Scarventophe]

Ouvre le et tu verras , un curieux comme toi c'est étonnant que tu n'as pas encore regardé
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[daemonarch]

[TASTOUX]

[chbrun]

Après quelques semaines de recul, je peux enfin donner mon avis sur cet album.

Noiseweb n'étant pas VS, je sais que je vais pouvoir écrire en toute objectivité sans me faire descendre.

Pour commencer, je tiens à signaler que j'ai toujours respecter Metallica, que je les adore encore et toujours pour tout ce qu'ils ont fait, même quand c'était moins bon à mon gout (en gros depuis Load). J'ai adoré leur concert à Arras, mais j'avais déjà quelques a priori quant à l'album a cause de la nouvelle chanson qu'ils ont joué (Cyanide).

Et malheureusement, mes à priori se sont avérés exact lors de l'écoute complète (que j'ai d'ailleurs eu beaucoup de mal à faire).

Pour le son, je ne peux pas donner un réel avis étant donné que je n'ai pas acheté l'album, donc pas de version cd. Mais ça ne m'empeche pas de pouvoir dire que je n'aime pas.

A cela plusieurs raisons : la première, c'est que Metallica est LE groupe de metal par excellence. Donc déjà à la base ils partent avec un gros handicap. Pourquoi ? Parceque quand on a sorti que des perles pendant longtemps et qu'on est aussi culte, difficile après de pouvoir écrire des titres plus percutants que ce qui a déjà été fait. Donc, le problème de cet albup, outre le son un peu faiblard, ce sont les chansons.

Les riffs ont déjà été entendus, que ce soit chez Metallica ou d'autres groupes qui les ont copiés. Autant je n'ai pas aimé Load, autant la démarche originakle ne peut qu'etre saluée sur l'album. Pour Death Magnetic, c'est tout l'inverse. Ils ont essayé de refaire un album comme avant, sauf que c'était mieux avant justement.

Pour l'instant, j'ai été gentil. Mais bon, maintenant, passons au cas de Lars. Ce mec est vraiment à la ramasse. Autant avant, je ne m'en rendai pas forcément compte (il y a 15 ans je n'avais pas la meme "expérience" que maintenant. Mais franchement les gars, avouez qu'il est quand meme ultra limité. A l'heure ou n'importe quel batteur essaie de jouer de façon originale en essayant de ne pas se contenter de la caisse claire et du charley, le père Lars ne connait manifestement que ça.

Pour Kirk, le problème est un peu différent, étant donné que ce mec a quand meme pondu certains des plus beaux solos du metal. Donc je lui pardonne le fait de faire un peu comme Kerry King, à savoir de faire encore des solos mais sans vraiment se fouler. A la limite, je peux comprendre, c'est quand meme super dur de se renouveler à chaque solo. Mais bon, y'a pas que la wha wah dans la vie. Et ce n'est pas parceque tout le monde critiquait le fait qu'il ne sache plus faire de solo, qu'il faut absolument qu'il en refasse toutes les 3 minutes (j'exagère je sais ...).

Pour Robert, je n'ai pas grand chose à dire, il fait son boulot, mais doit quand meme bien se faire chier étant donné le niveau qu'il a .

Et enfin, le maitre James. Ce mec reste le meilleur frontman du metal, son sens du riff reste presque inégalé (faut quand meme etre objectif, y'a eu un paquet de bon riffs depuis Metallica). Mais là c'est pareil. Si sur scène il a un peu perdu ses "tics" vocaux", il les a en partie repris sur album, et c'est bien dommage.

Bref, vous l'aurez compris, je ne suis pas fan de ce nouvel album, et je le regrette bien, car après la claque à Arras, j'aurai aimé pouvoir avoir le plaisir de racheter un nouvel album de Metallica. Mais je trouve vraiment cet album fade. L'instru est long et chiant, Unforgiven III ne me procure aucun sentiment si ce n'est l'ennui, et les quelques morceaux plus foncièrement rapides sont une redite de tout ce qui a déjà été fait, en moins bon. A la limite, je dirai que "The Day That Never Comes" reste un peu dans la tete, mais bon, le final, que tout le monde trouve si excitant me laisse totalement de marbre. On navigue entre la redite de One en beaucoup moins puissant et la rythmique pendant le solo reprend les notes de Motorbreath.

C'est vraiment regrettable qu'un groupe si génial ne puisse pas enterrer tout le monde à chaque nouvel album. Franchement, s'il n'était pas marqué Metallica sur la pochette, auriez vous vraiment acheté l'album ?
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