Groupe parisien, Dying Tears évolue dans un univers musical teinté d’athmosphérique, de dark et de death. Le duo voix guturale / chant féminin lyrique (à la Tarja, de Nightwich) fait mouche, sur des morceaux alternant breaks au synthé et accélérations imparables (l’intro de Melusine of the well of thursty gladness). La production est malheureusement un peu sourde et altere la force des très nombreuses et réussies nappes de synthé. Mais qu’il est bon de voir un groupe français avec un tel talent et réussire dans un style où beaucoup se sont cassé les dents avant. Une totale réussite.

Geoffrey