De la formation originale de 1985, il ne reste que Peter “peavy” Wagner, chanteur et bassiste du groupe, qui semble tenir la barre coûte que coûte. Le groupe évolue désormais en trio, une formule privilégiant un retour à un heavy traditionnel. Exit donc l’orchestre, mais retour à des mélodies et une puissance dont seul Rage a le secret. Du virulent Paint the Devil on the wall au touchant Deep in the night en passant par le concept en 4 parties Tribute to dishonour Rage séduit, mais ne parvient pas à retenir l’attention et pêche par des morceaux trop “classique”. Alors autant se tourner ves des albums comme End of all days ou encore Missing links.

Geoffrey