The agony scene est l’exemple type de la nouvelle vague de hardcore,
où se mélangent sans complexe mosh parts et death parts.
On s’éloigne donc de brooklin pour se rapprocher un peu
plus de Gotheborg, sans oublier ses racines. Ce premier album des américains
de l’Oklahoma bénéficie de tous les atouts pour
frapper fort : vocaux criards et puissant, riffs thrash et production
énorme. Adam Dutkiewicz, guitariste de Killswitch Engage, ne
s’y est pas trompé, en produisant l’une des bonnes
surprises de la rentrée. Des morceaux tels que Judas ou We Bury
Our dead At Dawn rappel The Haunted, alors que des titres comme The
Damned piocheront dans le black metal le plus basique, mais la fraîcheur
qui ce dégage ici en ravira plus d’un.
Geoffrey