Voici un groupe qui a bien décidé de marcher sur les plates
bandes des finlandais. Evoluant dans un metal mélancolique à
l’ambiance très sombre, End of green n’est pas sans
rappeler Sentenced ou Amorphis. Mais voilà, au lieu de rebondir
sur ses maîtres à penser, le groupe s’enlise dans
une pale copie et montre bien vite ses limites. On a même du mal
à rester éveillé dans ce flot de lenteur, même
si le groupe surprend parfois par quelques accélérations
bien senties (Tragedy Insane ou Higway 69). Tant qu’à faire,
autant s’arrêter sur le dernier Type O Negative…
Geoffrey