Venir de Lille et ne pas évoluer dans la sphère néo
metal est déjà en soit un gage de qualité. Mais
la force de Tang est ailleurs, dans un hardcore emo ou l’on frôle
souvent le sublime. Entre violence et intimisme, ce premier album met
l’auditeur à fleur de peau, parfois dérangé,
souvent apaisé. Le bonheur est ici, et l’on se retrouve
ailleurs, transporté par une mélodie, un riff, une rythmique.
Ce premier album est une vraie réussite, un bol d’air frais
dans une scène française au bord de l’asphyxie.
Geoffrey