Chroniques

En ces temps de violence, de guerre et de haine de l'autre, Tourniquet revient avec son 7ième album prêcher la bonne parole. Et oui, il s'agit d'un des derniers défenseurs du white-metal, style dont la musique et les textes sont inspirés directement par dieu. Mais qu'on ne s'y trompe pas, car par delà des textes un peu désuets et trop en décalage avec notre époque, il s'agit bien de thrash metal progressif. Et que tous les adeptes de technique se réjouissent, car ici les changements de riffs, de rythmes et de mélodies pullulent. Un peu trop peut être, faisant perdre une certaine homogénéité à l'ensemble. Car bien malin celui qui réussira à tout ingurgiter d'une traite. Dommage…

Geoffrey

	Tourniquet
	Where Moth And Rust Destroy (2003)
	genre : thrash technique
	8/10
	Metal Blade/M10
En ces temps de violence, de guerre et de haine de l'autre, Tourniquet revient avec son 7ième album prêcher la bonne parole. Et oui, il s'agit d'un des derniers défenseurs du white-metal, style dont la musique et les textes sont inspirés directement par dieu. Mais qu'on ne s'y trompe pas, car par delà des textes un peu désuets et trop en décalage avec notre époque, il s'agit bien de thrash metal progressif. Et que tous les adeptes de technique se réjouissent, car ici les changements de riffs, de rythmes et de mélodies pullulent. Un peu trop peut être, faisant perdre une certaine homogénéité à l'ensemble. Car bien malin celui qui réussira à tout ingurgiter d'une traite. Dommage… Geoffrey