Comme dirait Ozzy Osbourne : “Rock’n’roll !!!”. Ce qu’il y a de bien avec Alabama Thunderpussy, c’est que l’on sait à quoi s’attendre, du gros stoner bien gras, avec des compositions qui nettoient les cages à miel. Dès les premières notes, on tape du pied, on remue la tête, et pourtant la sauce ne prend pas autant qu’avant. Peut-être à cause de cette nouvelle orientation rock sudiste, peut-être à cause du nouveau chanteur, qui n’arrive pas à faire oublier son prédécesseur ? Les deux sûrement, et c’est bien dommage, car Alabama Thunderpussy a un potentiel énorme, qu’il met trop de côté sur ce nouvel album. En attendant la suite…
Geoffrey