Alors là, on peut dire que Dream Evil aura réussi le hold-up
heavy de ce début de nouveau millénaire. Non seulement
par la qualité de son line up (), mais aussi par sa musique,
explosant les conventions, se servant comme il se doit de ses influences
et surtout grâce à des compos qui resteront gravées
dans les mémoires. Riff massifs, chant impeccable, le groupe
surpasse aisément ses deux précédents albums, et
les idées bouillonnent tout au long des 12 morceaux qui composent
cet album. Que ce soit dans les hymnes heavy (Book of heavy metal),
le très ozzy osbourn No way, les morceaux épiques Into
The Moonlight, MOM ou encore les ballades imparables Chosen Twice et
Unbreackable Chain, le groupe offre un album complet, qui ne souffre
d’aucune faiblesse ou moment de flottement. Une tuerie !
Geoffrey