Dommage ! Ce second album de Revelation aurait pu, aurait dû, être une référence. Le problème est qu’il est totalement gâché par le chant plus que limite de John Brenner qui quitte d’ailleurs le groupe juste après l’enregistrement en 1992 pour le réintégrer lors de la récente reformation. Sur Never Comes Silence, Revelation et Brenner expriment toute leur classe (en dehors du chant, donc) avec un Doom classieux, raffiné et très riche (quel boulot des guitares !). Pas étonnant qu’on parle d’un pont entre Black Sab’ et Rush dans la promo. Et sans ce foutu problème de chant, Never Comes Silence aurait été un des albums phares du style, notamment grâce à un dernier titre éponyme dantesque et purement sublime.

Site : http://www.myspace.com/revelationdoom

Yath