Dans Total Fucking Destruction, il y a Rick Hoaks, le mec de Brutal Truth. Et Total Fucking Destruction, eh bien ils sortent un deuxième album sur Translation Loss.

Au programme, toujours du gros Grind. Franchement, il n'y a rien de très bandant à se mettre sous la dent et, ouais, Haters est même assez anecdotique, en fait. Puisqu'on vous le dit. OK, il y a du gros riff et ça rend le truc digeste, tout comme un petit je-ne-sais-quoi de groovy pas trop désagréable, et il y a un son très clair aussi. Voilà à peu prêt toute la consistance de cet album … Pas de quoi développer cette chro outre mesure. Parlons donc de la pochette, vraiment très moche. Franchement, le capitalisme et les gratte-ciels, c'est pas bien, non ? Ça génère des pauvres, et les pauvres, c'est mal...

Bon, on se doute bien que le but n’est pas de faire du Mozart, mais l'album devient vite chiant, déstructuré et puéril. Comme cette chronique, en somme.

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Gilles Der Kaiser