De passages jazzy avant-gardistes en envolées ultra progressives ponctuées de solos au saxophone, ce nouvel album des Américains de Yakuza (avec un certain Bruce Lamont au chant) n'est pas forcément facile d'accès mais les mélodies et certains passages bien agressifs font vraiment mouche et on finit par se laisser prendre au jeu tortueux des musiciens. Bref, malgré un son pas assez clair, ce Beyul est une sorte de mal de crâne maîtrisé.
Will Of Death |