Plus de trente ans que Paul Speckmann traine ses guêtres dans le
milieu death metal, et douze albums plus tard, le constat reste
identique : on nage en plein « old school »,
ça tabasse parfois dur mais c’est toujours un peu la
même chose. Bref, les fans seront ravis mais cet album ne
permettra toujours pas à Master de dépasser un simple
succès d’estime.