Depuis quelques années, Disbelief s'est fait son trou dans le coeur du public français. Ce n'était pas gagné d'avance, dans la mesure où le style pratiqué par le combo allemand a de quoi déconcerter. Grosses guitares sous-accordées façon « néo », voix gutturale de chez gutturale et envolées atmosphériques sont les ingrédients bien dosés d'un septième album très réussi : Navigator. Il nous fallait absolument faire le point avec nos allemand favoris, et c'est chose faite, en compagnie de Joe (basse). |
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Entretien avec Joe (basse), par Yath |
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